Je suis enfin arrivée ! Je suis à Gao, 1200 km de Bamako, 20 heures d’autocar. C’est la région la plus pauvre du Mali. Je suis au pays des Touarègues en moto, cellulaire à la main.
Pour y arriver, j’ai du passer par le calvaire de l’aéroport de Bamako avec ses chauffeurs de taxi très harcelants. Ils étaient 10 autours de moi, tellement que je n’arrivais plus à avancer. Et ils bénéficiaient tous des services d’un des agents de sécurité corrompus de l’aéroport qui venaient m’assurer de la compétence du chauffeur en question…. Finalement, c’est avec une dame rencontrée dans l’avion que je suis repartie. Elle a eu la gentillesse de venir a mon secours.
Pour récupérer passeport et visa, ça a été un vrai charme. Rien à voir avec tous les problèmes du Ghana. Tout était prêt en 24h…
Mon séjour à Bamako m’a également permis de revoir une amie, stagiaire en médecine elle aussi. Elle m’a donné des petits trucs pour mieux m’y repérer et interagir avec les gens.
Faire la transition entre deux pays, ce n’est pas nécessairement facile. On cherche à reproduire ce qu’on avait compris du pays que l’on quitte. Puis on se rencontre que les règles du jeu ont changes et que les nouvelles règles, on ne les connaît pas. Même la façon de saluer les gens est différente. C’est à la fois insécurisant et stimulant. Il y a encore tellement de choses à apprendre !!!
Je suis a Gao pour offrir de l’aide a l’AAG (Association Aide à Gao). Je serai impliquée auprès de petits enfants malnutris, des enfants orphelins et auprès de mères lors des leur accouchement. Plus de détails a venir…
Pour y arriver, j’ai du passer par le calvaire de l’aéroport de Bamako avec ses chauffeurs de taxi très harcelants. Ils étaient 10 autours de moi, tellement que je n’arrivais plus à avancer. Et ils bénéficiaient tous des services d’un des agents de sécurité corrompus de l’aéroport qui venaient m’assurer de la compétence du chauffeur en question…. Finalement, c’est avec une dame rencontrée dans l’avion que je suis repartie. Elle a eu la gentillesse de venir a mon secours.
Pour récupérer passeport et visa, ça a été un vrai charme. Rien à voir avec tous les problèmes du Ghana. Tout était prêt en 24h…
Mon séjour à Bamako m’a également permis de revoir une amie, stagiaire en médecine elle aussi. Elle m’a donné des petits trucs pour mieux m’y repérer et interagir avec les gens.
Faire la transition entre deux pays, ce n’est pas nécessairement facile. On cherche à reproduire ce qu’on avait compris du pays que l’on quitte. Puis on se rencontre que les règles du jeu ont changes et que les nouvelles règles, on ne les connaît pas. Même la façon de saluer les gens est différente. C’est à la fois insécurisant et stimulant. Il y a encore tellement de choses à apprendre !!!
Je suis a Gao pour offrir de l’aide a l’AAG (Association Aide à Gao). Je serai impliquée auprès de petits enfants malnutris, des enfants orphelins et auprès de mères lors des leur accouchement. Plus de détails a venir…